Nos conseils

La descente du bébé n’est pas une chute verticale : c’est une danse entre ton bassin, tes mouvements et son corps. Il s’adapte, se tourne, se fléchit, pendant que ton bassin s’ouvre et se réorganise. Comprendre cette mécanique apaise et redonne confiance dans ce que ton corps et ton bébé savent faire ensemble.

La descente du bébé n’est pas une chute verticale : c’est une danse entre ton bassin, tes mouvements et son corps. Il s’adapte, se tourne, se fléchit, pendant que ton bassin s’ouvre et se réorganise. Comprendre cette mécanique apaise et redonne confiance dans ce que ton corps et ton bébé savent faire ensemble.

L’ocytocine est bien plus que l’hormone des contractions : c’est l’hormone de la confiance, du lien et du lâcher-prise. Elle porte la progression du travail, facilite le ressenti et accompagne la rencontre avec ton bébé. En comprendre le rôle aide à créer un environnement qui soutient ta physiologie.

La phase de transition est souvent la plus intense de l’accouchement, mais elle est profondément physiologique. Pic d’adrénaline, impression de débordement, doutes… tout cela indique que la naissance est proche. Comprendre ce moment aide à le traverser avec moins de peur.

Un accouchement physiologique suit trois grandes phases : latence, phase active et transition. Chacune a son ambiance, ses hormones et ses besoins. Comprendre ce déroulé permet de vivre le travail avec plus de repères, moins de peur et davantage de confiance dans ton corps.

Comment savoir si le travail a vraiment commencé ? L’accouchement physiologique débute rarement d’un coup. Entre contractions irrégulières, changements hormonaux et signes émotionnels, ton corps organise la naissance bien avant les premières vagues intenses. Voici comment reconnaître un début de travail naturel et comprendre ce qui se passe réellement dans ton corps.